Si j'écrivais... Ateliers d'écriture

« Ecrire c’est tenter de savoir ce qu’on écrirait si on écrivait. » Marguerite Duras

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Si j'écrivais reçoit Sévim Riedinger

 

UnknownNous sommes heureuses de vous inviter à rencontrer

Sevim Riedinger

le jeudi 10 avril, à 19 h précises

 

Psychologue clinicienne, psychothérapeute, elle est également chargée de cours à la faculté de médecine de Créteil.

 

Le monde secret de l’enfant est son premier livre : «... le désir de témoigner d’une constante que j’ai relevée dans le fonctionnement psychique, d’un enfant à l’autre. A savoir cette faculté d’étonnement et d’émerveillement qui l’ouvre d’emblée à la dimension sacrée de l’existence {...} C’est la spiritualité à ses origines. C’est l’accès direct au secret originel, profondément enfoui en chacun de nous, et qui est évoqué par tous les grands mythes universels. »

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« Sevim Riedinger nous emmène avec beaucoup de tact et de cœur dans le secret de son cabinet.» Marie de Hennezel 

 

 

 

Merci de bien vouloir confirmer votre présence par mail [email protected]

 

31 mars 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)

Avec Soana Kristen pour son Encyclopédie des rêves

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Merci Béatrice Dejour pour ce beau retour :

La  rencontre de Soana Kristen a quelque chose d’inhabituel, car elle est riche de sa pratique de la psychanalyse, et d’un vécu singulier. Ce vécu est lui-même tissé de rencontres. La rencontre de ses  consultants, de l’Orient, et du mystère. 

 

Soana Kristen présente son cheminement, sa pratique de la psychanalyse et, en particulier, sa manière d’appréhender le rêve. Elle nous invite au voyage en nous diffusant un diaporama. Un voyage vers l’Orient, dans un temps aboli par les multiples échos et résonances de traditions diverses en apparence. Un voyage empreint de beauté, de musique, de danses, de couleurs, de parfums évoqués, d’érotisme. Sens exacerbés, poésie, amour, féminin sublime. La Vie.

 

Ce voyage en diaporama esquisse les lignes de force de l’œuvre. Une œuvre où les narrations s’entrecroisent  - le mystère étant entretenu par une intrigue policière -, où les dialogues d’Anaïs avec  Soana  alternent avec une correspondance entre Anaïs et M. N. (haine), où le rêve nous transporte auprès de Roxane à la cour du roi Agung… Un voyage onirique durant lequel les voix se mêlent et nous font perdre tout repère. Là, sans doute, un sens est à extraire.

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Le romanesque est érudit, il ranime une co(n)-naissance moribonde en Occident, qui prend ses sources dans l’Antiquité et traverse le Moyen Âge jusqu’à nous. Certains passages semblent s’inscrire dans le monde sensible, tels ceux d’échanges avec Julien Gracq, qui sont l’occasion d’une réflexion sur le rêve et sur son interprétation (dont les clefs sont au nombre de douze). D’autres nous propulsent dans le conte et le mythe, dans un « ailleurs » qui, pourtant interroge notre sensible.

 

L’exploration du rêve, des fantasmes et de leurs enjeux, ainsi que du désir, de ses manifestations et de ce qui le meut, nous pousse vers une quête portée par une transmutation. Invitation à devenir soi-même, à rechercher le « fil de l’intuition du cœur », en succombant à l’Eros… Divinisation de l’être aimé, qui mène à la découverte suprême…

 La beauté de l’ouvrage est amplifiée par ses nombreuses illustrations.

 Il serait vain de prétendre épuiser les richesses d’une telle œuvre en quelques mots… Il faut la lire.

Béatrice Dejour  

23 mars 2014 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Si j'écrivais reçoit Soana Kristen

Après une pause de quelques mois, Si j’écrivais reprend son cycle de rencontres avec  Soana Kristen 

L1020031Auteure, danseuse et psychanalyste, Soana est tout cela à la fois et bien plus. Elle nous plonge dans un univers onirique où corps et graphies se répondent. Elle est une merveilleuse lectrice de nos mythologies universelles, terreau  d’écritures. 

Conteuse de songes mais aussi profileuse, elle nous invite, avec son Encyclopédie des rêves, à explorer des labyrinthes et à rejoindre des jardins, là où il nous sera peut-être donné de quoi décrypter quelque versant caché de nos vies et enchanter nos jours.  

Soana a puisé dans divers champs, divers temps, divers arts pour nous offrir ce recueil qui témoigne d’une belle foi en la vie. L’écriture y prend appui et s’élance, et on s’élance avec elle, soudain libre de nos mouvements et libéré de nos entraves. 

" Quand il n'est pas songe, et comme tel, parfaitement établi dans sa vérité, le roman est mensonge." Julien Gracq. 

C’est le jeudi 20 mars, à 19h précises Unknown

que Soana Kristen,viendra évoquer en images ses parcours, puis écouter vos songes. Quelques instants suspendus à vivre...

http://www.interpretationdesreves.eu/soana-kristen.html

 

La soirée se terminera autour d’un buffet oriental.

 Merci de bien vouloir confirmer votre présence par mail [email protected]

 

 

18 février 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)

Si j'écrivais vous recommande "Marguerite et moi" au théâtre de Belleville

Image 1Véritable coup de coeur, pour tous ceux qui aiment Marguerite Duras. Le ton est juste, on est pris dès la première minute dans une atmosphère très durasienne. Bravo Fatima Soualhia Manet pour ce spectacle écrit, mis en scène et joué par toi et Christophe Casamance. Ta substantifique moelle de Marguerite est très bien rendue. 

MARGUERITE ET MOI  
DURAS, LIBRE PAROLE   Image
Mise en scène et interprétation : Fatima Soualhia Manet & Christophe Casamance
Idée originale : Dominique Terrier  
 
 à partir du 5 février 
Du mardi au samedi à 19H15, dimanche à 20H30
(relâches : 13, 14, 26 et 27 mars)
 
 
Face à un monde irrémédiablement mal fichu, Marguerite Duras nous donne sa façon de réagir au travers d’interviews et d’entretiens issus de grands 
moments de radio ou de télévision. Parole pleine de férocité, de roublardise et de drôlerie. 
 
Plus d'infos sur le spectacle : http://www.theatredebelleville.com/prochainement/item/178-marguerite-et-moi
 
 
PLEIN TARIF : 25€ / TARIF RÉDUIT : 15€ / - DE 26 ANS : 10€
 
Réservez vos places au 01 48 06 72 34
ou par transfert de mail à : [email protected]

 

31 janvier 2014 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Si j'écrivais organise un stage d'écriture "Ecrire pour l'écran" avec Eduardo Manet

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On n'écrit pas pour l'écran comme on écrit un texte, la forme et les enjeux sont très différents. 

L'écrivain et scénariste cubain EDUARDO MANET nous fait l'honneur de venir à l'espace Si j'écrivains pour nous accompagner dans les différentes étapes qui jalonnent l'écriture d'un scénario: 

Des sources d'inspiration à l'idée originale. 

Les pièges du pitch.

L'adaptation d'une œuvre littéraire

Format, taille et contraintes d'un scénario.

Quelles bases pour la triangulaire ? Auteur, Agent, Producteur

L’argent, pièce motrice du projet

Du court au long métrage Demain: Quel cinéma? Quelle télévision?

Art et Technique d'un scénario pour un film ou une série télé –

De l’idée à la réalisation

Deux sessions de 3 jours: 7/8/9 février 2014 puis 28 février, 1/2 mars 2014 ( de 10h à 17h)

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Contact : pour s'inscrire ou pour toute demande d'information merci d'envoyer un mail à [email protected]

Eduardo Manet est romancier, dramaturge, traducteur, metteur en scène, mime et animateur d’ateliers d’écriture. Il a réalisé 4 longs-métrages à Cuba (dont EL HUESPED, passé récemment à la télévision cubaine et à Miami) et 6 courts-métrages El Negro (primé au Festival du Film à Londres en 1961) et un téléfilm pour Hachette-France 2 : "Simon Bolivar et le Congrès de Panama" en 1978. Il a remporté le prix Lugné Poe SACD pour Les Nonnes, le Goncourt des lycéens pour l’île du lézard vert, le prix Interallié pour Rhapsodie cubaine. Pour aller plus loin : http://www.eduardomanet.net

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15 décembre 2013 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Si j'écrivais reçoit Robert Solé

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 J’appartiens, écrit Robert Solé, à une famille chrétienne, d’origine syro-libanaise, installée sur les bords du Nil depuis des générations {...} où des personnes d’appartenances différentes (musulmans, coptes, juifs, Arméniens, Grecs, Italiens, Français, Levantins…) avaient appris à vivre ensemble. Les turbulences de l’Histoire devaient les contraindre à tourner la page, parfois à quitter le pays. J’ai choisi pour ma part d’aller en France et dem’y intégrer, sans vouloir regarder en arrière. C’est en recherchant les traces de ce passé pour écrire mon premier roman, Le Tarbouche, que j’ai commencé à saisir l’Egypte dans toutes ses dimensions. Elle ne m’a plus quitté.

Au point de lui consacrer 18 des 21 titres qui composent la fresque de ses écrits dont Champollion par lui-même, Le pharaon renversé, La Vie éternelle de Ramsès II, Une soirée au Caire, Fous d’Égypte, Bonaparte à la conquête de l’Égypte, Le Grand voyage de l’obélisque, Voyages en Égypte, La Pierre de Rosette, Dictionnaire amoureux de l’Égypte, Mazag, Les Savants de Bonaparte, L’Égypte, passion française, La Mamelouka, Le Sémaphore d’Alexandrie, Le Tarbouche entre-autres. 

Romancier, celui qui répond à cet irrépressible besoin de donner vie à ce qui en lui, demande à être écrit. Romancier, celui qui peut avec des mots faire revivre les lieux et les personnages, les saveurs et les couleurs, les refrains et les bribes de phrases, tout ce que la poussière du temps a incrusté en lui subrepticement, tout ce qui peuple son espace intérieur et ne lui laisse de répit que le temps d’une respiration entre deux écrits. 

C’est le jeudi 26 septembre, à 19h précises

Que Robert Solé, romancier, biographe, essayiste, journaliste (Le Monde de 1969 à 2011 en tant que correspondant, médiateur, directeur du supplément littéraire) viendra nous présenter son dernier livre Sadate,

Sadate2biographie d’un homme d’Etat très controversé mais tout le monde s’accorde à reconnaître que ses initiatives spectaculaires ont changé la donne au Moyen-Orient {...} Les « années Sadate » ... une clé essentielle pour comprendre l’Egypte d’aujourd’hui.

 

Pour mieux connaître Robert Solé, vous avez son site officiel et sa page facebook

http://robertsole.wordpress.com

http://www.facebook.com/sole.robert

 

 

La soirée se terminera autour d’un buffet oriental.

 Merci de bien vouloir confirmer votre présence par mail [email protected]

 

 

28 août 2013 | Lien permanent | Commentaires (0)

Si j'écrivais organise une semaine d'écriture dans les monts du Vaucluse

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Vous avez suivi un atelier d’écriture et rempli quelques carnets.

Vous vous dites qu’il est temps pour vous d’aller plus loin, de donner corps aux personnages qui chuchotent à vos oreilles, de dessiner les images de vos paysages intérieurs, de composer cette partition qui fredonne en vous. 

Vos histoires attendent, vous seul saurez les écrire, le temps vous manque.

Offrez-vous une halte de 7 jours…face au majestueux Luberon dans les  Monts du Vaucluse, au sein d’un domaine forestier, dans une authentique ferme provençale, en compagnie de Julien Gracq, Vladimir Nabokov, Honoré de Balzac, Marcel Proust, Henri Michaux, Fernando Pessoa, Andrée Chédid, Marguerite Duras et tant d’autres… vous laisserez jaillir vos mots en écho à leurs pages. 

Baignades et promenades en forêt alterneront les moments d’écriture (30 heures au total).

 Les dates  :  Du lundi 2 au lundi 9 septembre 

 Vie pratique : Selon le nombre de participants, vous serez logés en chambre individuelle ou à deux. Les draps et linge de toilette sont fournis. 

 Les repas : Petit déjeuner libre (mis à disposition dans la cuisine du gîte) 

Déjeuner, goûter et dîner seront préparés et pris collectivement sous le figuier, en terrasse ou à l’intérieur selon le  temps. 

 

P.S : Le stage est également ouvert à des personnes n’ayant jamais pratiqué les ateliers d’écriture.

 Contact pour de plus amples informations par mail [email protected] et par tel : 06 07 39 47 05 

 

 

19 août 2013 | Lien permanent | Commentaires (1)

Avec Eduardo Manet pour Le Fifre

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Avec Eduardo Manet, s’est installée d’emblée une atmosphère particulière chargée d'émotions. Avec son sens du théâtre et du spectacle, Eduardo est resté pratiquement debout tout le long de son temps de parole. 

Je regrette beaucoup l’absence, pour cause de deuil, de notre photographe, on aurait tant voulu pouvoir revivre ce moment. 

 Nous avons bien sûr évoqué ses débuts en écriture, son choix de la langue française comme langue d’écriture, son désir de ne plus écrire sur Cuba du fait de cet éloignement si long maintenant et pour laisser les mots aux plus jeunes, de son espoir d’y revenir bientôt du fait de son lien autrefois avec Raoul, le plus sage du trio Castro. 

Mais le plus touchant fut d’écouter cet homme parler de son plaisir d’écrire, de son bonheur d’écrire. Loin des univers ténébreux de la souffrance d’écrire, l’idée de jeu était là, bien présente, et chacun s’est senti soudain capable de prendre son stylo et de s’y mettre. 

Et finalement c’est cela qui compte, c’est le but de ses soirées, donner à chacun l’envie d’écrire, ne serait-ce que sa propre histoire, celle qu'il nous faut écrire pour nous-mêmes, humblement, avec nos mots et nos moyens et notre imaginaire. 

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Et pour preuve, je vous donne ici, avec son accord, le texte qu’Eva Matesanz a écrit le soir même chez elle, reprenant à son compte le  titre d’un des romans d’Eduardo Manet « D’Amour et d’Exil» roman qui avait eu à l’époque le prix du roman d’évasion. 

"- Un ouvrage à l’écrit est avant tout un pitch.

 

Il nous partage, en écrivain reconnu*, son gimmick.

Qu’ai-je vécu, jadis ou aujourd’hui, qui pourrait faire l’histoire ? Et de quoi et de qui ? Cela pourrait être cette dame qui à la fermeture du supermarché se présente aux caisses et en bouche l’attente forcée, en réglant son addition, de quatre euros quatre-vingt-dix centimes en toutes petites pièces. Un, deux, cinq centimes. Et le compte, en longueur, traîne.

Cela pourrait être aussi la colère de mon père en pareille déconvenue. En moi à l’instant revenue.

Cela pourrait être ma rage, que je ressens par-dessus, d’impuissance face aux deux : le père et celle qui me le rappelle si bien.

Cela pourrait être le rire, défensif, de la caissière, à bout d’elle, à bout de moi et de lui. Et va savoir de quelle peine.

Cela sera – à force de tâtonner je tiens, peut-être seulement toujours, un bout de fil et de pitch -, la figure du père du père, jamais rencontré en vie, qui semble faire de ses colères, de sa rage des riens du tout, de son rire trop facile, de son inconséquence même, tout un chapelet d’histoires comme, d’un souffle, la traîne. Au beau profil de Camus – en photo je l’ai vu -, cet homme serait l’énigme qui, couchée, rampe entre nous.

Qu’aurait-il fait à la guerre ? D’Espagne l’incivilité.

Quel y aurait été son rôle, quelle sa mission secrète, pour que sa femme me dévoile, comme des frissons de jeunesse, éclatante comme un oeillet, qu’elle traversait les frontières des deux Espagnes clivées ? De nuit, et en son nom d’épouse, armer les républicains. Sous les jupons de la belle de quoi faire sauter le ciel.

Et à son retour victorieux au petit matin, aimer se laisser surprendre, de lui, et de son ventre armé.

D’où tenir autant d’argent, et autant de déchéance puis ? Comment vivre en opulence sur les rives de Madrid. Petit instituteur repris ? Et pourquoi tout refuser, de matériel et d’acquis, à sa progéniture grandie. Des enfants bien trop nombreux, trop parfaits, trop rêvés. Trop intelligents de lui ?

Il l’engrosse une dernière fois. Et il disparaît de leur vie.

Il leur laisse la hardiesse, l’instinct de vivre la vie, le goût du l’entre deux feux, le sens de la démesure, la peur qui aiguille l’issue. 

Il les laisse sous la jupe de la mère. Telle mitraille. 

Il se laisse, aller, simple, de nuit, gitana. Il vit. Et sans doute en moi il gît.

* Eduardo Manet, en cercle littéraire autour de de Roula Si j’écrivais, inspirateur de mon propre chant, esquisse « D’amour et D’exil »

Merci Eva et à bientôt pour d'autres textes aux ateliers de Si j'écrivais, ou simplement chez toi les soirs d'émotion. 

Il ma plaît également de rajouter le commentaire d'une participante: " j'ai vraiment beaucoup aimé cette soirée avec Edouardo Manet, beaucoup. Quelle énergie de vie, quel humour, quel appétit. On devine de la gravité, mais ce que j'ai surtout vu, c'est sa gourmandise de vivre, intacte. Lui aussi a besoin de belle compagnie. Nous en avons tous besoin. J'ai souri en l'entendant décrire les gens, beaux, laids…J'aurais voulu l'interroger sur ce qu'il entendait par là. La beauté est centrale pour lui. Un vieux monsieur bien attachant et d'une coquetterie délicieuse. Sa posture debout pour moi avait à voir avec sa voix et moi qui suit du Sud j'ai admiré son jeu de main. Une belle incarnation de l'écriture. Il donne envie et j'attends avec impatience son polar à Barcelone. Il va faire comme Andréa Camilleri qui, sur le tard a versé avec brio dans le polar avec sa créature le commissaire sicilien Salvo Montalbano?

 

 Tout sur Eduardo Manet http://www.eduardomanet.net 

12 juillet 2013 | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)

Un dimanche, un auteur.

Parce que chaque écrivain au travail est à lui seul un atelier d'écriture, plonger dans l'univers d'un auteur, le temps d'une journée, c'est s'offrir la chance de donner forme aux mots éparpillés en soi, la chance de voir se dessiner les contours d'une image ou d'une scène oubliée, la chance de découvrir ce que j'écrirais si j'écrivais. 

Il reste encore quelques places pour le dimanche 16 juin (10h-17h), venez découvrir l'auteur du jour qui vous conduira vers vos pages en attente.

 

13 juin 2013 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Si j'écrivais reçoit Eduardo Manet

AVT_Eduardo-Manet_2956Eduardo Manet, mon premier ami écrivain, le premier que Si j’écrivais a eu l’honneur de recevoir, à l’aube de ses activités. 

Romancier, dramaturge, traducteur, metteur en scène, mime et animateur d’ateliers d’écriture. 

De nombreux prix, le prix Lugné Poe SACD pour Les Nonnes, le Goncourt des lycéens pour l’île du lézard vert, le prix Interallié pour Rhapsodie cubaine.
Pour aller plus loin  : http://www.eduardomanet.net

C’est le mercredi 26 juin à 19h précises 

Qu’il viendra du côté de la rue des Martyrs pour nous présenter Le Fifre, roman qui raconte la passion vécue entre le Peintre et la jeune Eva Gonzalès. Né de cet amour, Eduardo Manet a attendu tant d’années pour révéler à ses lecteurs la part romanesque de sa vie gardée si longtemps à l’ombre de ses pages d’écriture.  Page7_0_1

Autobiographie? Autofiction? Une fois endossé l’habit du romancier, est-il aisé de s’en dévêtir? Heureusement non. C’est toute la période du Second Empire avec son foisonnement artistique et culturel qu’Eduardo Manet nous offre, nous donnant l’irrépressible besoin de courir au Musée d’Orsay revoir de près les tableaux du Maître, des Maîtres. 

De Cuba à Paris, en passant par New-york, vastes sont ses chemins d’écriture et nombreux les puits où il ne cesse de s’abreuver, au volant d’un bolide tout terrains, LA DISCIPLINE, celle qui permet d’avoir du panache à tout âge. 

Une belle manière d’accueillir l’été qui arrive enfin!  Page7_3_1

La soirée se terminera autour d’un buffet oriental

Merci de bien vouloir confirmer votre présence par mail [email protected], 

 

 

 

 



01 juin 2013 | Lien permanent | Commentaires (0)

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