Si j'écrivais... Ateliers d'écriture

« Ecrire c’est tenter de savoir ce qu’on écrirait si on écrivait. » Marguerite Duras

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Si j'écrivais reçoit Diane Mazloum

Images-2Diane Mazloum
L’âge d’or

Fin des années 1960. Rock et pattes d’éph, insouciance et soleil sur la peau satinée des femmes. Ce sont les derniers jours de l’âge d’or du Liban, mais personne ne le sait encore. Certainement pas Georgina, jeune chrétienne à la beauté troublante. Ni Roland, son premier amour, qui la guette au bord d’une piscine, dans cette torpeur suave où s’agite leur groupe d’amis noceurs, à l’ombre des conversations Images-1d’adultes et des turbines d’avion – grondement de la terreur à venir.
Pendant ce temps, Ali Hassan Salameh, fils d’un leader historique palestinien, s'apprête à prendre les armes. Il deviendra l’homme le plus beau et le plus dangereux du Moyen-Orient.
En traçant les destinées de Georgina, devenue Miss Univers, idole chérie d’un peuple enfantin, et d’Ali Hassan, chef de guerre musulman recherché de tous et surtout du Mossad, Diane Mazloum signe une fresque vibrante qui nous emporte au cœur des années 70 et de la guerre civile libanaise. Georgina est l’histoire d’un amour, d’une famille, d’un pays, dans la fièvre d’une époque où l’on se déchire entre frères. La tragédie d’un peuple pour qui rien ne sera jamais plus comme avant.

L’âge d’or, dans la seconde liste du Renaudot, est son second roman après Beyrouth, la nuit réédité en 2015 en Livre de Poche.
Elle a également publié un récit graphique, livre objet comme elle aime le nommer Nucleus, en plein cœur de Beyrouth City.

Le mardi 13 novembre à 19h30
Paris 7° , rue Barbet de Jouy

Diane Mazloum sera avec nous.

24 octobre 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)

Si j'écrivais reçoit Marie-Laure de Cazotte

B978746156Z.1_20160524140433_000+G8M6RVUJH.1-0Marie-Laure de Cazotte
Mon nom est Otto Gross

Ce n’est pas un homme, c’est de la dynamite.
Pionnier de la psychanalyse, neurologue visionnaire, anarchiste et féministe radical, fondateur du « mouvement érotique », végétarien convaincu, écologiste avant l’heure et inspirateur des dadaïstes, Otto Gross (1877-1920) est une figure centrale de la modernité.

 

                                                            A Monte Verità, une colonie pré-hippie où se croisent Hermann Hesse, Isadora Duncan et le révolutionnaire Images        Kropotkine, il est le gourou d’une jeunesse en quête de liberté sexuelle et de nature. Disciple rebelle de Sigmund Freud, il fait basculer le destin de Carl Gustav Jung qui le nomme son « frère jumeau » avant de le déclarer dément.


            Son internement sur ordre de son père, le professeur Hans Gross, célèbre criminaliste, incendie la presse européenne et mobilise Apollinaire, Blaise Cendrars et toute l’intelligentsia en lutte contre le patriarcat.

            Dans cette fresque romanesque qui nous entraîne en Patagonie, à Zurich, Munich, Berlin, Vienne, et jusqu’au cœur de la Grande Guerre, Marie-Laure de Cazotte, auteur de À l’ombre des vainqueurs, récompensé par de nombreux prix littéraires dont le Prix du Roman historique, retrace avec brio et profondeur l’épopée de cet esprit considéré par Michel Onfray comme « le grand oublié de l’histoire de la psychanalyse »

 

Le jeudi 27 septembre à 19h30
Paris 7° , rue Barbet de Jouy


Marie-Laure de Cazotte sera avec nous.
Merci de bien vouloir confirmer votre présence par mail à [email protected]

 

24 août 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)

Si j'écrivais organise un semaine d'écriture dans le Vaucluse du 17 au 23 septembre 2018

IMG_6624Le monde attend d’être dit,
Et tu ne viens que pour dire.
Ce qui est dit t’est donné :
Le monde et son mot de passe.
       François Cheng in Enfin le royaume

 

Quelle que soit votre motivation
Quel que soit votre désir
Quel que soit votre niveau

Venez écrire avec ceux qui vous ont précédé en écriture : Gracq, Zweig, Colette, Balzac, Duras et tant d’autres.

IMG_6623Nous vous accueillerons dans une ferme provençale, face au majestueux Luberon, dans les Monts du Vaucluse

Nous prévoyons pour cette année un programme complet entre séances d’écriture (25 heures) cours de Pilates (3h) et enfin baignades et promenades au gré de l’humeur et du temps.

Participation aux frais (ateliers d’écriture, cours de Pilates pension complète, entretien) : 750€

Les places sont très limitées : ne tardez pas à vous inscrire.

Merci de bien vouloir confirmer votre présence par chèque de 300€ libellé à l’ordre de l’association Si j’écrivais et adressé à
Roula El Jabri - 11 rue Barbet de Jouy, 75007 Paris

IMG_6624 Contact : [email protected] par tél : 06 07 39 47 05

 

 L’accès : 
■ Par la route :
Depuis Paris, prendre l’autoroute du sud, sortir à Avignon, puis direction Apt jusqu’à Saint-Saturnin-les-Apt, le GPS reconnaît le lieu-dit Les Lays. 
■ Par le train :
TGV Paris / Avignon (2h40) ensuite prendre le bus Trans/Vaucluse jusqu’à Apt. 



Paris, le 2 juin 2018
Marie-Christine Labroue et Roula El Jabri

 

11 juin 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)

Si j'écrivais Tahar Ben Jelloun

ImagesTahar Ben Jelloun
La punition

La punition raconte le calvaire, celui de dix-neuf mois de détention, sous le règne de Hassan II, de quatre-vingt-quatorze étudiants punis pour avoir manifesté pacifiquement dans les rues des grandes villes du Maroc en mars 1965. Sous couvert de service militaire, ces jeunes gens se retrouvèrent quelques mois plus tard enfermés dans des casernes et prisonniers de gradés dévoués au général Oufkir qui leur firent subir vexations, humiliations, mauvais traitements, manœuvres militaires dangereuses sous les prétextes les plus absurdes. Jusqu’à ce que la préparation d’un coup d’État (celui de Skhirat le 10 juillet 1971) ne précipite leur libération sans explication.
Le narrateur de La punition est l’un d’eux. Il raconte au plus près ce que furent ces longs mois qui marquèrent à jamais ses vingt ans, nourrirent sa conscience et le firent secrètement naître écrivain.

414d7CCzVjL._SX339_BO1 204 203 200_Le jeudi 21 juin à 19h30
Paris 7° , rue Barbet de Jouy


Tahar Ben Jelloun sera avec nous pour nous parler de son livre, de son oeuvre, de l’engagement de l’écrivain, de sa vie dédiée à l’écriture


Merci de bien vouloir confirmer votre présence par mail à [email protected]

30 mai 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)

Si j'écrivais reçoit Chantal de Halleux

PhotoLE RÊVE ET SON ÉCHO
Écoute et regard d'une psychothérapeute
Chantal De Halleux

 

 Ce livre, fruit de 40 ans de travail, est un récit clinique qui s’adresse à un large public. Il explique comment soulager ses peines et redonner souffle de vie grâce aux rêves. L'auteur insiste sur la nécessité "d'agir" le rêve et de ne pas se contenter de sa contemplation et de son interprétation. Ecouter les messages oniriques montre une autre réalité et donne accès à l’intériorité. Les nombreux exemples rendent le texte vivant et fluide.

Chantal de Halleux est psychanalyste-psychothérapeute. Elle privilégie une approche jungienne centrée sur l'interprétation des rêves

 

9782343138138rLe dimanche 27 mai à 19h30
 
Chantal de Halleux sera avec nous pour nous parler de nos rêves
Merci de bien vouloir confirmer votre présence par mail à [email protected]

24 mai 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)

Si j'écrivais reçoit Kenizé Mourad

Kenize pays des purs Au pays des purs

Anne, journaliste française, enquête, dans ce seul pays musulman doté de la force nucléaire, sur les risques d’un détournement possible de la bombe par les terroristes. Dans la beauté aristocratique de Lahore, célèbre pour ses palais, ses mosquées et ses jardins monghols, la jeune femme se heurte aux réseaux d’espions de tous bords, de militaires et de policiers, de familles patriciennes et de djihadistes.
Elle va tenter de pénétrer une organisation extrémiste responsable d’attentats meurtriers, sera prise en otage, connaîtra la faim, la soif et l’angoisse de la mort.
Parmi ceux qui la guident, son étrange ami Karim pourra-t-il la sauver ? Karim, l’homme de théâtre qui monte des pièces de Beckett à Lahore, Karim qui aime le Pakistan passionnément et garde un dangereux secret.

Avec ce bouleversant roman d’amour Kenizé Mourad nous emmène dans un pays secret et méconnu, le Pakistan, « Le Pays des Purs ».

 

 

Kenize mouradKenizé Mourad est née à Paris d’une mère ottomane et d’un père indien. Grand reporter spécialiste du Moyen-Orient et du sous-continent indien, elle a fait son entrée en littérature avec De la part de la princesse morte, un premier roman traduit dans trente-quatre langues et vendu à plusieurs millions d’exemplaires. Elle a par la suite publié avec succès Le Jardin de Badalpour, Le Parfum de notre terre et Dans la ville d’or et d’argent, traduits également dans de nombreux pays.

 

Le jeudi 5 avril à 19h30


Kenizé Mourad sera avec nous.

En romancière et reporter elle nous présentera son livre qui paraîtra en librairie le 21 mars.

 

Merci de bien vouloir confirmer votre présence par mail à [email protected]

 

16 mars 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)

Si j'écrivais reçoit Delphine Minoui

Delphine minouiDelphine Minoui

Delphine Minoui est grande reporter au Figaro, spécialiste du Moyen-Orient. Prix Albert Londres 2006 pour ses reportages en Iran et en Irak, elle sillonne le monde arabo-musulman depuis 20 ans. Après Téhéran, Beyrouth et Le Caire, elle vit aujourd'hui à Istanbul, où elle continue à suivre de près l’actualité syrienne. Elle est également l'auteur Des Pintades à Téhéran (Jacob-Duvernet), de Moi, Nojoud, dix ans, divorcée (Michel Lafon), de Tripoliwood (Grasset) et de Je vous écris de Téhéran (Seuil).

 

 

 

Les passeurs de livres de Daraya                                     

Une bibliothèque secrète en Syrie

Passeurs
De 201 2 à 2016, la banlieue rebelle de Daraya a subi un siège implacable. Quatre années de descente aux enfers, rythmées par les bombardements au baril d’explosifs, les attaques au gaz chimique, la soumission par la faim. Face à cette violence, une quarantaine de jeunes révolutionnaires syriens a fait le pari insolite d’exhumer des milliers d’ouvrages ensevelis sous les ruines pour les rassembler dans une bibliothèque clandestine, calfeutrée dans un sous-sol de la ville.
Leur résistance par les livres est une allégorie : celle du refus absolu de toute forme de domination politique ou religieuse. Ce récit, fruit d'une correspondance menée par Skype entre une journaliste française et ces activistes insoumis, est un hymne à la liberté individuelle, à la tolérance et au pouvoir de la littérature.

Le jeudi 1er février à 19h30

Delphine Minoui sera avec nous. Je n’ai pas besoin de vous dire ce que cette soirée signifie pour moi. Avec ce livre, elle tisse ensemble les nerfs vitaux de ma vie.
Merci de bien vouloir confirmer votre présence par mail à [email protected]

 

 

10 janvier 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)

Si j'écrivais reçoit Jean-Marie Laclavetine

Photo laclavetine Jean-Marie Laclavetine

 

L’écrivain, éditeur et traducteur de l’italien Jean-Marie Laclavetine est membre du comité de lecture des éditions Gallimard. Il a obtenu divers prix littéraires, dont le Goncourt des Lycéens en 1999 pour Première ligne et le Grand Prix de la nouvelle de l’Académie française pour Le Rouge et le Blanc, un recueil consacré à l’univers du vin.

 

 

Photo et j'ai su

Et j’ai su que ce trésor était pour moi

Nos histoires inventées étaient notre royaume. A force de partager à toute heure nos envies de romans, nos débuts de romans, nos bribes d'intrigues, nos croquis, nos petites et grandes nouvelles, nous avions fini par vivre de l'autre côté. Julia, je ne te laisserai pas sombrer. Tu es au bord du grand trou. Je te retiens. Je te sauve. Je vais reprendre nos anciennes histoires, commencer des romans que nous finirons un jour ensemble, quand tu seras debout, quand tu seras vivante, pleine de rires et de cris de bonheur et de cris de plaisir, quand de nouveau nos peaux feront des étincelles en se touchant. J'y arriverai, tu vas voir. Après tout, Shéhérazade est bien parvenue à ses fins, la petite futée a fini par clouer le bec à son sultan psychopathe. Qu'ai-je de moins qu'elle, dis-moi ? Nous en avons vu d'autres, nous deux, nous avons terrassé des fantômes autrement moins commodes.

Le mardi 16 janvier à 19h30


Jean-Marie Laclavetine viendra nous présenter son dernier roman, nous parler d’écriture et de son parcours dans la prestigieuse maison Gallimard. Après la rencontre, autour d’un buffet oriental, vous pourrez échanger avec lui.

 

 

 

 

 

05 janvier 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)

Pour nous retrouver en 2018

Chers membres, chers amis,

Une année s’achève et malgré la tristesse que les fins font naître en nous, je sais que l’année 2017 restera en nos mémoires, car nous avons eu le privilège de recevoir MARIANNE EPIN, immense comédienne, qui vient de nous quitter après un très long combat contre la maladie. La soirée a été filmée. Plus tard, quand j’en aurai le courage, nous nous retrouverons avec ceux qui le souhaitent, rue des Martyrs pour passer un moment avec elle, avec sa voix et son sourire.

Pour cette nouvelle année, que je vous souhaite douce et légère, nous aurons la joie de la commencer avec :

* Le mardi 16 janvier : Jean-Marie Laclavetine pour Et j’ai su que ce trésor était pour moi. Vous trouverez ci-joint l’invitation.

* Le jeudi 1er février : Delphine Minoui pour Les passeurs de livres de Daraya, une bibliothèque secrète en Syrie.

N’hésitez pas à rajouter ces deux titres dans vos paniers de Noël : si les années passent, nos amis s’envolent, les livres demeurent nos compagnons les plus fidèles et souvent consolateurs.

Pour terminer l’année et commencer la nouvelle, riez, lisez, et vive la littérature.

Bien amicalement
Roula

17 décembre 2017 | Lien permanent | Commentaires (0)

Si j'écrivais reçoit Jean Noël Liaut

COUVERTURE_ELLE-EDMONDEElle, Edmonde
Née en 1920, fille d’un ambassadeur à Rome auprès du Saint-Siège, elle est élevée dans des palais italiens, au milieu des artistes, des princes et des papes. Elle semble promise à une vie bien rangée. Mais en 1940, elle s’engage comme infirmière-ambulancière, avant de rejoindre la clandestinité. À la Libération, cette caporal-chef de la Légion étrangère, décorée de la croix de guerre, devient journaliste à Elle, puis révolutionne Vogue. Son premier roman obtient le prix Goncourt. De Gaulle lui confiera : « Madame, vous votez mal mais vous écrivez bien. » Grande bourgeoise aimantée par les marginaux, elle devient la muse d’écrivains célèbres, de peintres et de photographes d’avant-garde. C’est aussi une féministe qui ne craint pas les diables macho. Avec Gaston Deferre, le flamboyant maire de Marseille, ministre de l’Intérieur de Mitterrand, elle forme un couple légendaire qui navigue entre les ors de la République et le monde ouvrier, les bals du gotha et la fête de l’Huma.
Rebelle, courageuse, pétrie de désirs, de talents et de contradictions, Edmonde assume tout. Une femme libre, tout simplement.

 

Lui, Jean-Noël Liaut

JEAN NOEL LIAUT  Ecrivain, traducteur et journaliste. Il a publié une douzaine de biographies et d’essais, parmi lesquels Les Anges du Bizarre (Grasset, 2001), ), Karen Blixen Une Odyssée Africaine (Payot, 2004 ; Grand Prix Littéraire de l’Héroïne 2005), Madeleine Castaing (Payot, 2008), La Javanaise (Robert Laffont, 2011), Elsa Triolet & Lili Brik Les Sœurs Insoumises (Robert Laffont 2015 / Finaliste du Goncourt de la Biographie/ Lauréat du Prix de la Biographie de l'Académie française. Finaliste du Prix Goncourt de la Biographie), mais également un volume de journal intime, Férocement Vôtre (Ramsay, 2005) et un Eloge des Garces (Payot, 2013). Ses livres ont été traduits en anglais, italien, grec, polonais, russe, néerlandais, espagnol, ukrainien et chinois.


Le vendredi 1er décembre à 19 heures précises
Jean-Noël viendra nous parler d’Elle, Edmonde, d’écriture, et de toutes ces héroïnes qui ont habité sa vie d’écrivain.

 

 

05 novembre 2017 | Lien permanent | Commentaires (0)

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