15 janvier 2023 | Lien permanent | Commentaires (0)
Chers amis,
Les « happy few » passés entre la grippe, le Covid et toutes sortes de contraintes, et qui étaient présents à notre soirée autour de Valentine Goby pour L'ile haute, se sont sentis très privilégiés. « Un moment rare de partage » intense et léger à la fois, un jaillissement ! Oui les absents ont eu vraiment tort.
Valentine Goby, tel un merveilleux rayon de soleil, a illuminé la grisaille de décembre. Nous l’avons écoutée nous faire part de cet émerveillement face à la beauté, au mystère, à l’immense. Pour écrire ce roman, il lui a fallu conjuguer et suturer deux moments d’apparence irréconciliable; celui de l’enfant qui ne dispose pas des mots pour dire, celui de l’adulte qui possède les mots mais a perdu l’émerveillement, seul capable de tenir la guerre à distance et de faire barrière à la folie des hommes. L’ile haute, chez actes sud, un récit qui pourrait être l’histoire d’un enfant qui devient montagne. Cette soirée a été pour moi, et je crois pour tous, un grand moment de poésie, poésie de la langue, des tableaux, des gestes et des sentiments.
Valentine nous dit qu’elle est entrée dans le monde par la peau, par le corps, zone de transition entre soi et les autres, lieu de la collision et de la collusion avec le paysage.
Je suis certaine qu’en fin de soirée, chacun avait envie de lire ou de relire l’Ile haute, pour ma part, j’aurais voulu que Valentine nous emmène dans sa montagne pendant des heures et des jours.
Il est impératif de vous inscrire pour le déjeuner du jeudi 12 janvier à 12h30 autour de Josette Kalifa pour La réparation, roman auto-édité.
Je suis la cadette d’une sororie de trois filles. Mon père est bigame et violent, ma mère dépressive. La violence de mon père envers ma mère, les cris, la peur ont baigné mon enfance. Comment se construire dans ce climat de folie destructrice ?
Ce livre retrace mon cheminement personnel et spirituel. Un chemin initiatique pour dépasser ma colère, retrouver ma dignité, faire la paix avec mon histoire et tous les personnages qui l’ont traversée, en même temps que de maintenir un lien, aussi ténu soit-il, entre mon fils et moi.
Ce livre est un livre de résilience et de pardon. C’est aussi une histoire d’amour. La maltraitance, la violence, l’abandon ne sont pas une fatalité. Il nous appartient de rebattre les cartes du jeu que la vie nous a donné pour en faire un jeu gagnant. L’entrée est libre.
Enfin je vous rappelle nos prochaines soirées :
• Mercredi 25 janvier : Olivia de Lamberterie pour Comment font les gens, Stock
• Jeudi 2 février : Jeanne Phan Tram pour De rage et de lumière, Mercure de France
• Mercredi 15 février : Sabyl Ghoussoub pour Beyrouth sur Seine, Stock - Prix Goncourt des Lycéens 2022
• Mercredi 15 mars : Monica Sabolo pour La vie clandestine, Gallimard
• Mercredi 19 avril : Marie de Hennezel pour L’aventure de vieillir, Robert Laffont
Je vous souhaite de l’optimisme, une bonne santé et en attendant le 1er janvier de douces et chaleureuses fêtes de fin d’année
P.S : le roman de Jeanne ne sera en vente qu’à partir du 5 janvier
C’est au festival Etonnants Voyageurs, à la faveur de la projection d’un documentaire, que Jeanne découvre Jack Preger : fermier au pays de Galles devenu médecin sur le tard. Il arpente les bidonvilles de Calcutta et soigne sans relâche les plus démunis.
La jeune femme part alors en Inde, décidée à écrire un livre avec lui. Mais le vieil homme n’a aucune envie de se confier.
Pendant ce temps, en France, sa mère se bat contre la maladie. Pourquoi Jeanne éprouve-t-elle le besoin de partir si loin précisément à ce moment-là ? Que cherche-t-elle à travers Jack ?
Au fil du voyage, des liens invisibles se tissent peu à peu entre les trois personnages, chacun réparant quelque chose chez l’autre, avec ses manques, ses blessures et sa part de lumière.
Née en 1986, Jeanne Pham Tran a étudié les littératures française et chinoise. Elle est aujourd’hui éditrice et vit entre Bangkok et Paris. De rage et de lumière est son premier roman.
29 décembre 2022 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'île haute - Valentine GOBY
Un jour d’hiver, le jeune Vadim, petit Parisien de douze ans, gamin des Batignolles, inquiet et asthmatique, est conduit par le train vers un air plus pur. Il ignore tout des gens qui vont l’héberger, quelque part dans un repli des hautes montagnes. Il est transi de fatigue quand, au sortir du wagon, puis d’un tunnel – l’avalanche a bloqué la voie –, il foule la neige épaisse et pesante, met ses pas dans ceux d’un inconnu. Avance vers un endroit dont il ne sait rien. Ouvre bientôt les yeux sur un décor qui le sidère, archipel de sommets entre brume et nuages, hameau blotti sur un replat. Immensité enivrante qui le rend minuscule. Là, tout va commencer, il faudra apprendre : surmonter la séparation, passer de la stupeur à l’apprivoisement, de l’éblouissement à la connaissance. Confier sa vie à d’autres, à ceux qui l’accueillent et qui savent ce qui doit advenir.
L’île haute est le récit initiatique d’une absolue première fois, d’une découverte impensable : somptueux roman-paysage qui emplit le regard jusqu’à l’irradier d’humilité et d’humanité. Images et perceptions qui nous traversent comme autant d’émotions, nous élèvent vers ces ailleurs bouleversants, ces montagnes dont la démesure change et libère les hommes – et sauve un enfant.
Valentine Goby a publié quatorze romans en vingt ans. Aux éditions Actes Sud sont parus Kinderzimmer en 2013, un livre avec lequel elle a obtenu treize prix littéraires dont celui des Libraires, Baumes en
2014, Un paquebot dans les arbres en 2016 puis Murène en 2019. La fille surexposée, initialement paru chez Alma en 2014, sort simultanément dans la collection de poche Babel.
Le mardi 13 décembre 2022 à 19h30 précises
Paris 7° , 11 rue Barbet de Jouy
Valentine Goby sera avec nous pour nous présenter ce récit initiatique en haute montagne. Je suis heureuse de la recevoir en chair et en os après l’avoir entrevue en Zoom pour Murène.
Merci de bien vouloir confirmer votre présence par mail à [email protected]
21 novembre 2022 | Lien permanent | Commentaires (0)
Je suis très heureuse de vous annoncer que le Prix de "Flore 2022 a été décerné à Joffrine Donnadieu. Il récompense tant d'années vouées à l'écriture. Ce prix lui ressemble tellement, en effet, Le prix de Flore, créé en 1994, distingue "de jeunes auteurs prometteurs, au talent insolent et original".
Son pseudo durassien, un brin rose poudré, pourrait évoquer un univers littéraire de crinolines et de bien-pensance. Que nenni !
Joffrine Donnadieu, récompensée au troisième tour (huit voix contre quatre) du prix Flore pour son roman Chienne et louve(Gallimard), nous transporte dans le quotidien trash d’une apprentie comédienne du cours Florent, effeuilleuse à Pigalle et dame de com pagnie pour payer ses cours. On retrouve le personnage de Romy apparu dans le premier ouvrage de cette auteure de 32 ans, Histoire de France déjà publié chez Gallimard en 2019.Avec un style qui ne fait pas entre chien et loup, mais plutôt dans le « franco de porc », Joffrine Donnadieu dépeint avec maîtrise et humour vif des relations de domination des corps et des esprits, qu’ils surgissent dans un club de strip-tease ou chez une logeuse, vieille fîlle de 89 ans un peu toquée, entraînant l’héroïne dans de drôles de je(ux). (Point de vue)"
10 novembre 2022 | Lien permanent | Commentaires (0)
« Loin des biographies communes, Audrey Fella dresse le portrait émotionnel et presque hagiographique de Christiane Singer. Une transcendance inexplicable poursuit le lecteur tout au long de l'ouvrage et justifie cependant toute la pluralité d'une femme de lettres comme elle. Attachée à la spiritualité et à la recherche du moi profond, Audrey Fella sensible à la complexité d’âme de Christiane Singer, une femme attachée à la spiritualité et aussi pleinement à la vie, nous raconte son parcours avec des mots vrais et à l’appui de nombreux témoignages ce ceux qui l’ont connue.
Parce que Christiane Singer, ce sont aussi toutes les personnes qui se sont trouvées sur son chemin et qui ont participé à faire briller sa pensée, à la perpétuer et la nourrir pour la faire évoluer vers d'autres espaces à explorer. Récompensée par le prix de la Langue française de l'Académie, elle n'aura pas volé ce style parfois suranné et lyrique qui la caractérise bien. Alors l'historienne aura constitué sa biographie ainsi : une succession de thèmes chers à l'auteure plus qu'une chronologie de lieux et d'événements pour comprendre la philosophie de vie de ce personnage aussi mystique que son écriture. »
Le mercredi 16 novembre 2022 à 19h30 précises
Paris 7° , 11 rue Barbet de Jouy
Audrey Fella sera avec nous pour nous présenter avec ferveur la passion de Christiane Singer. Certains d’entre vous se souviennent, janvier 2015, de la lecture musicale exceptionnelle, Voix et Archet, par Christelle Willemzez et Birgit Yew, Entre Ciel et Chair, d’après le texte de Christiane Singer « Une passion »
Merci de bien vouloir confirmer votre présence par mail à [email protected]
21 octobre 2022 | Lien permanent | Commentaires (0)
« Je veux respirer sur scène, entendre les trois coups chaque soir, commettre des crimes, des infanticides, des adultères, aimer éperdument, haïr follement, voyager à travers les époques, changer de sexe, m’empoisonner, mourir, renaître. »
Romy, vingt ans, arrive à Paris avec le rêve d’être comédienne. Pour subsister et payer le Cours Florent, elle travaille dans un club de strip-tease à Pigalle. Odette, vieille fille de quatre-vingt-neuf ans, la loge contre un loyer modique et un peu de compagnie. String à paillettes et crucifix devront faire bon ménage. Deux femmes s’apprivoisent, entre chien et loup. Elles nouent une relation faite de fascination et de dépendance, se renvoyant en miroir leurs corps meurtris, leurs solitudes, leurs folies, leurs enfances volées et surtout leur désir de vivre. Dans cette emprise mutuelle, jusqu’où seront-elles capables d’aller ?
On retrouve ici la puissance viscérale de l’écriture de Joffrine Donnadieu, qui décrit avec acuité la violence des rapports sociaux, l’apprentissage du théâtre, la vie des corps.
Lors du confinement, Joffrine Donnadieu avait accepté une rencontre Zoom pour son premier roman Une histoire de France. Je souhaite de tout coeur qu’aucune mesure sanitaire ne nous prive de la retrouver
Le mercredi 12 octobre 2022 à 19h30 précises
11 rue Barbet de Jouy, Paris 7°
en chair et en os, pour nous présenter CHIENNE ET LOUVE, son second roman, intense et bouleversant, qui nous introduit dans des lieux insoupçonnés et peu familiers, et oblige le lecteur à dévisager tout ce que Romy doit dépasser pour poursuivre sa passion. Quel talent !
Merci de bien vouloir confirmer votre présence par mail à [email protected]
27 septembre 2022 | Lien permanent | Commentaires (0)
Harry, romancier en panne d'inspiration, achète sur un coup de tête une ferme à l'écart d'un village perdu. C'est l'hiver. La neige et le silence recouvrent tout. Les conditions semblent idéales pour se remettre au travail. Mais Harry se sent vite épié, en proie à un malaise devant les événements étranges qui se produisent.
Et si l'inspiration n'était qu'une manière d'accueillir les fantômes ?
Un suspense métaphysique somptueusement orchestré où les fatalités familiales rencontrent les chimères d'un grand écrivain.
L’an dernier, notre soirée avec lui pour Buveurs de vent (Prix Giono 2020) fut annulée pour les raisons sanitaires.
J’avais été bouleversée à la lecture de Né d’aucune femme, La Manufacture de livres, qui avait reçu de nombreux Prix dont celui de Babelio, du Grand Prix Elle 2019, prix des libraires 2019 et le Prix Audiolib (La Manufacture de livres)
Le mardi 20 septembre 2022 à 19h30
Paris 7° , 11 rue Barbet de Jouy
Franck Bouysse sera avec nous pour nous parler de L’homme peuplé, d’écriture, de roman policier, d’univers inquiétant et étrange, d’atmosphère. J’ai hâte de l’écouter.
31 août 2022 | Lien permanent | Commentaires (0)
Chers amis,
J’espère que vous avez passé un bel été riche de moments chaleureux et de belles lectures. Le mien fut intensément breton, une belle découverte.
Avec la joie qui m’anime à chaque rentrée, je vous annonce nos prochaines soirées littéraires :
J’animerai mon prochain stage d’écriture chez mon amie Christina Burrus au Château du Coudray du 30 septembre au 7 octobre.
Les ateliers d’écriture animés par Agnès Waltz vont se poursuivre sur Zoom les lundis et mercredis à partir du 12 septembre, vous recevrez prochainement le calendrier.
Enfin, et c’est une nouveauté, je vais organiser des déjeuners rencontres autour de mes coups de coeur pour des auteurs auto-édités. Le premier sera autour de Josette Kalifa, chanteuse et animatrice d’ateliers voix, comédienne, artiste, conférencière.
Comme vous pouvez le lire, la feuille de route est dense. A cet effet, je vous adresse le bulletin d’adhésion à l’association Si j’écrivais à compléter et à envoyer accompagné d’un chèque de 40 euros libellé à l’ordre de Si j’écrivais. Des tarifs préférentiels seront accordés aux membres pour les soirées.
Pour ne pas charger vos boites mail, je vous propose de m’appeler ou de m’écrire pour que j’échange avec vous sur les conditions d’inscription aux ateliers d’écriture d’Agnès et au stage du Coudray.
Bien à vous.
31 août 2022 | Lien permanent | Commentaires (0)
Karima Berger
Les gardiennes du secret
Les grandes figures féminines de l'imaginaire musulman
« Les femmes sont les gardiennes du secret de ce que Dieu garde secret », dit le Coran dans l'un de ses versets énigmatiques. À l'heure où l'injonction de la « vertu » ou celle de la « libération » tentent de s'imposer aux femmes musulmanes, Karima Berger déploie ici sa pensée du féminin, une pensée politique, spirituelle et poétique.
En soulevant le voile des apparences, elle découvre l'intelligence des femmes qui est à l'oeuvre et qui irradie tout le corps de l'islam. Les héroïnes de la tradition (Layla, Hagar, Aïcha, Khadîdja, Fâtima, Marie...) donnent chair à la pensée, à la parole, à la beauté. Elles déploient ainsi tous les degrés de ce « secret » dont les femmes sont les Gardiennes.
Mêlant sa vie et sa culture de femme d'Orient et d'Occident, l'auteure prolonge dans ces Gardiennes du secret la recherche qu'elle avait engagée avec Etty Hillesum dans Les Attentives (Albin Michel, 2019).
Le jeudi 16 juin 2022 à 19h30
Paris 7° , 11 rue Barbet de Jouy
Karima Berger sera avec nous. Avec son talent de conteuse, nous irons à la rencontre de ses figures féminines qui ont forgé l’imaginaire musulman.
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Comment résumer en quelques lignes notre soirée d’hier avec Karima Berger ?
J’ai juste envie de dire MERCI à Karima. En ces temps obscurs elle apporte la LUMIERE et nous en avons tant besoin.
Avec une rigueur baignée d’une grande sensibilité, elle a relu le Coran et de nombreuses traductions pour être son propre juge. Puis, faisant confiance à son pressentiment qu’une part était réservée au féminin dans le projet divin, elle s’est autorisée à nous livrer sa lecture personnelle de l’histoire de ses grandes figures féminines, ces gardiennes du secret de ce que Dieu garde secret.
Les Gardiennes du Secret, dédié à Hagar, la bannie, et à Schéhérazade, la rédemptrice, nous proposent 13 haltes à l’ombre d’Ibn ‘Arabi et de l’Emir Abdelkader, deux Maîtres qui ont accompagné cette longue traversée. Chacune des haltes nous confie l’histoire réelle ou imaginaire d’une femme et nous ouvre un champ nouveau de réflexion.
Nous avons lu quelques passages du livre qui nous ont permis d’apprécier et de mesurer ses talents d’écrivaine engagée, son écriture poétique, sa langue éblouissante de précision et de beauté.
J’aime dans le chapitre II, consacré à Khadîdja, la femme qui sait, comment Karima redonne ses lettres de noblesse à l’intuition féminine.
Je suis fière d’avoir clôt avec Karima Berger et ses Gardiennes du Secret le cycle des rencontres 2021-2022.
31 mai 2022 | Lien permanent | Commentaires (0)
J’ai vécu dès mon enfance avec la conscience, gravée en moi, que l’exil géographique n’est qu’un cadre pour un exil plus profond et contre lequel on ne peut rien.
Etel Adnan in Voyages, Guerre, Exil
L’espace de quelques jours, au Château du Coudray, situé à Luçay-le-libre en Berry, lieu de calme, de beauté et d’élégance, nous ferons des haltes pour nous abreuver aux sources lumineuses offertes par Andrée Chédid, Etel Adnan, Wajdi Mouawad, Charif Majdalani, Alexandre Najjar, Diane Mazloum et d’autres…
En plus de l’écriture, mon amie Maryse Jobert proposera à 18h, à celles qui le souhaitent, une pratique corporelle de yoga pour explorer d’autres facettes de soi, elle nous écrit :
J’ai rencontré le yoga alors que j’étais une jeune femme débordée et passablement stressée. J’ai trouvé dans cette pratique nourriture et inspiration. Formée au yoga de Madras (1) par Claude Maréchal puis Peter Hersnack, j’ai à cœur de transmettre ces « pépites ». J’ai enseigné pendant plus de 15 ans en entreprise et, depuis quelques années je me consacre à la transmission en cours individuel. Je suis heureuse de vous rencontrer et de faire un bout de chemin en votre compagnie.
(1) Viniyoga-TKV Desikachar, une approche ajustée qui puise dans toute l’étendue du yoga « c’est la posture qui doit s’adapter au pratiquant et non l’inverse »
Séjour et pension complète : 450€ par chèque à l’ordre de l’Atelier du Coudray (vous serez logés en chambre individuelle, draps et linge de toilette fournis) Arrivée le mardi 7 juin dans la matinée, et départ le dimanche 12 dans l’après-midi. Sachant que le stage d’écriture se terminera le samedi soir pour vous permettre de profiter du lieu la journée du dimanche.
Animation : 300€ par chèque à l’ordre de Si j’écrivais
Pratique du yoga : 20€ la séance à régler sur place par chèque, à l’ordre de l’association MYAM- MON YOGA A MOI
Adhésion annuelle à l’association Si j’écrivais 35 €
Les places étant limitées, merci de bien vouloir confirmer votre présence par l’envoi des chèques à :
Roula El Jabri
11, rue Barbet de Jouy, 75007 Paris
31 mai 2022 | Lien permanent | Commentaires (1)